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La femme d'un autre

  • Photo du rédacteur: HIM
    HIM
  • 29 janv. 2019
  • 5 min de lecture



Quand on aime le sexe comme je l’aime, on aime également le jeu de séduction, le flirt. Séduire une femme, qu’elle se sente désirée et qu’elle nous désire en retour, c’est mon préliminaire préféré. Le sexe n’a d’impact à mes yeux que lorsqu’il est le fruit d’une aventure romantique réussie.

Que le sexe soit la conclusion salvatrice d’une frustration commune et volontaire. Que nous mettions un terme à cette tension sexuelle palpable qui nous liait depuis longtemps, par une nuit d’amour sans concession. Sans retenue.


Au jeu de la séduction je n’ai jamais été très intéressé par le nombre. Je n’ai jamais compté mon tableau de chasse, car je ne fais pas ça pour la collection. En revanche, s’il y a bien un challenge qui m’excite, c’est de séduire une femme déjà prise. Pire, de séduire une femme qui m’annonce de prime abord que son cœur est déjà pris et que ça ne sert à rien de tenter la moindre approche. Face à une telle assurance, je ne peux que déployer toute mon énergie pour lui donner tort.


Gloria était mon challenge. Elle avait dix ans de plus que moi, mariée, un enfant, un boulot sans saveur, une vie quotidienne faussement sympathique. Une belle femme négligée par son homme qui en avait presque oublié son sex-appeal indéniable. Née au brésil, elle vivait en France depuis son adolescence; elle gardait un accent brésilien succulent, et un goût pour la couleur qui réchauffait le cœur.


Je craquais littéralement pour cette voix musicale et ces fesses dingues. Gloria avec un cul. Un vrai, rond, remuant, tonique. Un cul qui dessine son dos comme une grosse poitrine dessine un buste. C’est elle qui m’a fait réaliser que j’étais un “homme à culs” et non pas un “homme à seins” comme je le pensais jusqu’ici. Ses fesses étaient hypnotiques, la voir s’asseoir, marcher, courir, était toujours un délice pour mes yeux. Le fait que je sois bien plus jeune qu’elle et également totalement admiratif de son corps a dû jouer. Elle a senti qu’elle avait du pouvoir sur moi, mais que je n’étais pas juste un enfant à qui il aurait fallu tout apprendre. En bien des points, je lui rappelais la Gloria qu’elle était dix ans plus tôt, et je lui parlais comme si elle était toujours une jeune célibataire pleine d’envies. Nous discutions de tout et de rien, pendant une longue période. J’étais son “petit jeunot” et elle était ma “vieille sexy”. On se charriait amicalement, on est devenu amis, et j’ai commencé à être son confident


A shoulder to cry on becomes a dick to ride on. Comme on dit. Gloria contenait bien trop de frustration, plus qu’elle ne pouvait supporter. Son mari ne s’intéressait plus à elle, elle sortait de moins en moins avec ses amies, sa fille n’était plus un bébé et ne passait pas sa vie dans les jupes de sa mère. De toute façon Gloria n’a jamais vraiment eu une vraie fibre maternelle comme on peut l’imaginer d’une sud-américaine, si tant est qu’on puisse vraiment se fier à ce genre de clichés. Elle avait eu un enfant, elle aimait sa fille, mais elle ne s’est jamais vraiment considérée comme une mère. Et comme elle n’était plus considérée comme une Femme par son propre mari, je l’ai aidé à se souvenir et à reprendre confiance en elle; enfin j’espère.


Les rires amusés face à mes compliments un brin osés ont commencé à devenir des sourires flattés mêlés à des regards complices. Et lorsqu’on discutait le soir sur le Network par webcams, ses tenues étaient toujours plus courtes, plus ouvertes, pour mon plus grand plaisir. 


Puis les rôles ont changé, c’était elle à présent qui me complimentait, m’entourait de sous-entendus et d’allusions plus que compréhensibles pour un esprit pervers comme le mien. Elle a commencé à me partager sa frustration face à la pauvreté de ses ébats conjugaux, à me demander si ces nouvelles robes la mettaient bien en valeur dans le but que je la flatte une nouvelle fois sur son cul diabolique. Puis vint le jour où elle n’en pouvait plus de vivre d’allusions et de frustration. Un jour j’ai reçu un message, elle me demandait ce que je faisais, pour que je lui réponde “et toi?”  


- Rien, je suis chez moi. Je m’ennuie… Tu veux passer?

J’ai cru qu’elle allait me violer. Jamais une femme ne m’avait à ce point dominé et ne s’était offerte à moi sans condition comme elle l’a fait. Je n’ai gardé mon froc qu’à peine une demi-heure une fois chez elle. Elle avait des idées derrière la tête et elle n’a pas perdu de temps pour les mettre à exécution. Je la savais gourmande, autrefois coquine, mais je ne pensais pas qu’elle serait aussi délurée. Elle m’a appris tant de choses. Je la revois cracher sur ses seins avant de me faire une branlette espagnole. Sa langue fine tournant sur mon gland à une vitesse folle. Elle se branlait frénétiquement pendant qu’elle me suçait, puis me saisissait avec sa main trempée. Elle enfonçait mon sexe au fond de sa gorge jusqu’à en avoir les larmes aux yeux, ses lèvres pulpeuses s’appuyaient sur mes couilles pleines et rasées. Elle aimait la faire ressortir pleine de salive, luisante et tendue comme il faut. Elle aimait lécher, pas seulement mon sexe, mais mon corps entier. Elle léchait et mordillait mes tétons, elle suçait ma langue et léchait mon cou comme si j’étais une sucrerie interdite dont il fallait profiter tant qu’on ne nous voyait pas.


Elle aimait passer sa langue sur mes couilles comme si elle dégustait un fruit juteux, elle m’aurait même fait un anulingus si j’avais accepté. Mais ce n’est pas mon délire. Même moi j’ai des limites. Sa chatte ouverte et trempée était un bonheur à pénétrer. Ses cuisses serrées autour de ma taille, je la prenais avec force pendant que nos langues se battaient pour ses tétons. Elle avait le sexe énervé. Elle voulait que je claque ses seins comme on claque un cul pendant une levrette. Elle voulait que je m’agrippe à ses poignets pendant que je la baise pour qu’elle ne puisse pas bouger. Mais plus que tout, elle voulait que je l’encule, car son mari ne passait jamais par là. Elle avait besoin d’un orgasme anal, de retrouver cette décharge électrique semblable à nulle autre. Qui monte de la base de sa colonne vertébrale pour remontrer jusqu’à son cerveau pour se répandre partout dans son corps.

Que tu étais bonne à baiser Gloria. Que j’aimais t’entendre avec ton accent délicieux me demander de t’insulter. De te dire à quel point tu étais ma pute pendant que je faisais claquer ton gros cul sexy. Que tu me traitais de salop lorsque tu me branlais pour me faire jouir sur ton si joli visage. Vicieuse que tu étais de t’imaginer le soir venu revêtir ton costume de parfaite épouse sage sans que ton mari se doute de ce qui était à l’origine de ton sourire satisfait.


Tu m’as baisé jusqu’à l’épuisement, tu m’as fait dépasser mes propres limites et tu es en grande partie responsable de l’amant que je suis aujourd’hui. Plus d’une fois j’ai manqué de m’évanouir tant j’allais jusqu’au bout de mes forces pour te faire jouir. Nous étions insatiables. Tu avais tout le temps faim de moi, sûrement plus que ma propre faim de toi. 


Aujourd’hui je sais que tu as quitté ce mari négligeant et que toi et ta fille avez fondé un nouveau foyer et que tu es plus heureuse que jamais, avec ton deuxième enfant. Nous savions toi et moi que notre relation n’avait aucun avenir, elle fut une belle parenthèse pour tous les deux et je me plais à croire que tout ceci n’était pas gratuit et que nous en sommes sortis plus forts. Tu resteras toujours ma belle brésilienne au cul de feu, et je serai toujours ton jeune salop vicieux. 


Merci.

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