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LAURA - Partie 01

  • Photo du rédacteur: HIM
    HIM
  • 29 janv. 2019
  • 8 min de lecture



On s’était rencontré sur internet, comme on dit, mais à une époque où on savait prendre notre temps. Elle me paraissait trop belle pour être vraie. Une jolie métisse au regard de biche et à la bouche pulpeuse. Tantôt souriante comme une adolescente heureuse, tantôt le regard félin d’une jeune femme en pleine possession de sa sensualité. Et quelle sensualité… Sa peau chocolat semblait si douce, tout comme la pulpe de ses lèvres roses et les lignes de son incroyable poitrine. Des seins parfaits dessinés par Dieu sans l’ombre d’un doute, car une telle perfection ne pouvait être qu’une création du divin. Je suis resté dix minutes à admirer ses photos, cherchant la faille dans son jeu pour confirmer ma crainte. J’étais persuadé qu’il s’agissait d’un fake, au point où mon approche fut l’une des plus lamentables à laquelle le net ait assisté depuis sa création. Elle avait dix-huit ans, j’en avais dix-neuf, et la première question que je lui ai posée fut « t’es pas un peu jeune pour avoir déjà les seins refaits ? ». Qu’on soit clair, cette phrase ne marche pas. Ne reproduisez jamais ça à la maison. J’étais tellement convaincu d’avoir affaire à un certain Gérard, 42 ans, facteur dans la Drôme, que j’ai joué la carte du gros con impudique. Aujourd’hui encore je me demande pourquoi elle ne m’a pas bloqué à ce moment-là. Avait-elle aussi flashé sur mon profil au point qu’elle s’était forcée à ignorer ma remarque désobligeante ? Ou avait-elle trouvé ma question tellement maladroite qu’elle en était devenue drôle ? Je repense souvent à ce moment où tout ce que j’entreprenais semblait échouer lamentablement, et qui pourtant marqua le début de cinq années de passion et d’amour autodestructeur.


Mais à cette époque on était loin de tout ça Laura et moi. Elle sortait du BAC et se lançait dans un CAP coiffure alors que moi j’étais débordé par mes études à la Fac. On était tous les deux très occupés dans cette nouvelle étape dans nos vies, les nouvelles responsabilités qui se présentaient à nous, alors pour se changer les idées sans succomber à la dépense d’une sortie entre potes, on s’était retrouvé sur le Network le même soir, sans vraiment s’attendre à y trouver quoi que ce soit. Mais on s’était trouvé. La gêne de mon approche passée, nous avions commencé à en plaisanter. Je lui expliquai très sincèrement que je pensais avoir affaire à un faux compte, et que ma question n’était absolument pas une tentative lourde de la complimenter sur son corps, j’étais sérieux. J’étais sûr que sa poitrine était refaite, ce qui est quand même rare chez les jeunes femmes de son âge. Encore une fois elle ria de ma franchise maladroite, la glace était brisée. Je passais pour un gentil con un peu obsédé par ses seins, sans être trop creepy non plus ; ce qui lui laissait le champ libre pour jouer avec moi. Ce soir-là j’étais sa proie, et elle allait en profiter jusqu’à ce que je la supplie de m’achever. La discussion allait bon train, j’essayais de me rattraper en montrant des signes d’assurance ou autre indice laissant entendre que je n’étais pas désespérément idiot. Je la félicitais sur ses choix de photos, car elle était vraiment magnifique ; mais surtout pour qu’elle me rende la pareille en me donnant son avis sur mes propres photos. « t’es bogosse toi, tu fais plus vieux que ton âge » avait-elle lâché.


Le courant passait naturellement entre nous, et on passa très rapidement à une conversation par webcams interposées. Comme toujours à cette époque, la webcam était une étape majeure dans une rencontre sur le net. Nous étions tous des Spielbergs en puissance en ce temps-là, connaissant l’angle parfait pour nous mettre à notre avantage et dissimulant habilement les montagnes de linge recouvrant la chaise à côté de l’armoire. Ensuite on passait au traitement de la lumière, évidemment. Rester dans le noir, éclairé par la lueur bleuâtre de l’écran n’était clairement pas indiqué à moins qu’on ait un physique ingrat et qu’il faille compenser par un jeu d’ombre pour gommer double menton et bourrelet disgracieux. Demander la cam à quelqu’un n’était pas une demande anodine, ça demandait son lot de préparation, et on ne se mettait pas en scène pour le premier venu. Une webcam ça se mérite, surtout en pleine nuit quand on glande en pyjama, pas maquillée et pas coiffée. Ce soir-là, j’avais mérité une récompense pour m’être démené. Alors que j’enfilai un t-shirt pour ne pas avoir l’air d’un affamé, la fenêtre de chargement de la webcam s’afficha. Tandis que la fenêtre de Laura chargeait, je me voyais déjà de mon côté, ce qui me donnait quelques précieuses secondes pour ajuster les derniers détails. J’ai toujours eu une sensation proche du trac pendant cette attente fugace. Le temps était comme suspendu, et j’étais partagé entre l’excitation de voir cette bombe en mouvement, et l’appréhension de ne plus pouvoir me cacher derrière quelques jolis mots. Alors que je commençais à sentir des frissons parcourir mon échine, la barre de chargement de la fenêtre de discussion laissa place à l’image de Laura. Malgré l’heure tardive, elle se tenait là, lascivement allongée sur son lit. Elle s’était déjà attaché les cheveux pour dormir, et il me semblait qu’elle était déjà démaquillée. Elle se dévoilait pour la première fois à moi dans sa représentation la plus naturelle. Il m’est presque impossible de décrire l’impact de ce premier regard, que ce soit la confirmation que ce n’était clairement pas un vieil homme déviant se faisant passer pour une jeune femme, tout comme le souffle court face à cette beauté extraordinaire. Son petit débardeur Hello Kitty épousait de manière parfaitement scandaleuse sa poitrine aussi généreuse que ferme. L’absence de soutien-gorge n’y changeait rien, cette poitrine ne bougeait pas, elle restait figée, ronde et parfaite, ses petits tétons durs de dessinant entre deux motifs de chat. J’admirais la douceur de ses cuisses que son petit short rose n’aurait su dissimuler à mon regard esthète.  Je n’oubliais pas que j’étais moi-même filmé, et j’essayais autant que possible de masquer mon admiration gourmande pour cette délicieuse créature.

J’ai résisté pendant de longues minutes à émettre un commentaire concernant ce débardeur déformé duquel mon regard ne pouvait se détourner.


Ça fait vraiment siliconé tellement ils sont ronds en fait…

Face à cette remarque intéressée, la belle leva un sourcil et regarda sa webcam d’un œil séducteur ; puis d’un geste nonchalant elle rabaissa un peu plus le débardeur Hello Kitty pour augmenter la taille de son décolleté, le tout ponctué d’un sourire satisfait. Elle me tenait dans le creux de sa main et ça lui plaisait énormément.


Nous avons discuté ainsi une bonne partie de la nuit, prenant nos aises très naturellement. J’en avais même oublié que je m’étais connecté sur le Network pour une petite séance de sexcams nocturne. 02 :00 s’affichait sur l’horloge de mon ordinateur, lorsque notre conversation commença à dévier vers quelque chose de plus coquin. La belle me raconta sa dernière relation et me laissa entrevoir un appétit sexuel certain. Déstabilisé par ma bourde introductive, j’hésitais à surenchérir en évoquant mes propres aventures et décidai de lui laisser l’initiative. Je me contentais de répondre aux sujets qu’elle abordait, et Laura était intarissable. Pendant qu’elle me racontait ses aventures sulfureuses, je l’imaginais, elle, petite jeune femme toute mignonne, remuant ses fesses rebondies sur les sexes turgescents qu’elle se vantait de faire jouir bien trop facilement.


Jvais finir par t’imaginer faire tout ça… ai-je lâché.

J’espère bien ! me répondit-elle avec un sourire gourmand.

Tu cherches à me faire de l’effet ?? ai-je demandé de manière faussement naïve.

J’y arrive ?? écrivit-elle rapidement, sentant que notre discussion pouvait basculer à tout moment.


À cette question rhétorique,  j’ai levé à mon tour un sourcil, puis j’ai orienté ma webcam vers mon boxer pour un coup d’œil fugace sur la forme de mon sexe en érection le long de ma cuisse gauche.

Tu crois ? lui demandai-je innocemment, tentant de cacher mon trac par une candeur ironique.

En réponse à mon geste osé, Laura ne dit rien, elle se contenta de sourire, puis mima une fellation en remuant sa main en direction de sa bouche ouverte, déformant sa joue avec sa langue pour représenter mon gland qui viendrait la pénétrer.

Nous avons ri face à notre bêtise commune. Mais je n’avais pas perdu le nord, j’étais lancé.


C’est là que tu la veux ?


Non, pas seulement là. La belle Laura avait compris que la nuit allait être longue et humide, et qu’elle pouvait commencer à se lâcher complètement. Elle se mit donc en tête de me montrer les zones de son corps où elle aimerait voir ma queue… Elle pressa sa poitrine à travers son débardeur d’enfant, formant une fissure incroyable dans laquelle je rêvais d’enfermer mon sexe chaud. Puis elle se tourna légèrement afin que j’admire la cambrure de son dos et la fermeté de ce cul qu’elle palpa avec malice.

Ma webcam était toujours orientée vers mon visage, et c’était bien ainsi. Je voulais qu’elle me demande de « la montrer » si telle était son envie. Elle avait pris l’initiative depuis le début, et là elle faisait tout pour que je craque. Nous allions jouer encore un peu. Je ne pouvais m’empêcher de témoigner mon admiration face à cette poitrine sublime et ce visage d’ange ; alors comme elle commençait à s’impatienter, Laura montra sa poitrine en coup de vent. Ce flashboobs ne fit que confirmer la perfection de cette jeune femme. Elle m’excitait au point que je n’avais déjà plus envie de jouer au chat et à la souris avec elle, je voulais la prendre sans attendre. Je voulais goûter ces lèvres douces et pulpeuses, passer mes doigts sur la petite constellation de taches de rousseur sur le haut de ses joues, saisir sa poitrine à la base et agripper ce petit cul bombé pendant que je l’embrasserais. Laura avait réussi si bien à me donner envie que je voulais tout de suite connaître la texture de sa langue lorsqu’elle lécherait mon sexe de long en large.


J’ai craqué.


J’ai descendu ma webcam, ma main était déjà en train de palper ma queue à travers mon boxer. Face à ce nouveau spectacle, Laura changea de position et retira son débardeur Hello Kitty pour se mettre à l’aise et me faire bander encore plus. Ses seins étaient vraiment parfaits, elle pouvait prendre n’importe quelle position ça n’y changeait rien : cette poitrine défiait les lois de la physique. Petit à petit je sortais mon gland du boxer, puis centimètre après centimètre jusqu’à avoir ma queue totalement sortie de son fourreau.


Miam ! se contenta-t-elle de commenter.


Avant que je puisse réagir, la belle avait glissé sa main dans son petit short rose et commençait à malaxer son sein droit… Je commençais moi aussi à caresser mon sexe, excité comme un fou face à cette divine créature. Nos mains étant prises, nous avons ouvert le canal audio de la conversation privée afin de s’entendre. Elle fut immédiatement séduite par ma voix grave, et sa petite voix d’ado me fit fondre. Laura était une femme gourmande dans le corps d’une teen.


Laura retira son short pour me laisser admirer son sexe totalement rasé et déjà bien humide. J’avais envie de la pénétrer, là, tout de suite. Je ne voulais plus me finir à la main, j’avais tellement envie d’elle que j’en avais mal au ventre. Alors que je branlais mon sexe de plus en plus fort, je voyais Laura tourner sa langue rose autour de son téton marron tout en continuant à s’enfoncer deux doigts profondément dans son sexe brûlant. J’aimais l’entendre gémir. Laura avait le plaisir sexuel félin, ses gémissements en appelaient d’autres tant ils étaient bons à entendre. Elle fut la première femme à me faire comprendre que mes orgasmes étaient avant tout déclenchés par le plaisir démonstratif de ma partenaire.


J’ai envie de pomper ta queue…  me dit-elle entre deux gémissements.


Le choix des mots n’était pas anodin, elle voulait vérifier que j’aimais également utiliser ce vocabulaire lorsque j’avais une forte envie de cul. Elle était bien tombée.


Nous nous sommes masturbés l’un face à l’autre pendant plusieurs minutes encore. Lorsque ses sourcils se froncèrent et sa bouche s’entrouvrit pour laisser éclater un orgasme venu des profondeurs de son âme, je sentis la sève monter le long de mon membre. Je continuais de me branler pour qu’elle puisse voir une explosion de sperme chaud se répandre sur mon ventre. Quel gâchis de ne pas avoir honoré ces seins qui me faisaient envie depuis plusieurs heures maintenant.


Laura m’avait épuisé, il était temps de se dire bonne nuit. J’espérais la revoir rapidement connectée sur le Network, même si je me disais qu’une femme comme elle ne devait avoir recours au site que lors de rares nuits de solitude.


Je ne m’attendais pas à ce qu’elle fasse partie de ma vie pendant aussi longtemps...

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