MALORY - Partie 02
- HIM
- 29 janv. 2019
- 5 min de lecture

J’avais passé le test de Malory, j’étais invité à rentrer dans un cercle plus rapproché. Celui du flirt.
Auparavant, Malory était intriguée par mes flatteries et mon audace quelque peu maladroite. Sa beauté et son aura sensuelle m’avaient frappé et je ne savais plus trop comment réagir. Alors je me suis comporté comme je le sentais sur le moment, sans arrière-pensée ni vision à court terme. J’étais dans l’instant tout simplement.
À présent dans le premier cercle de séduction de Malory, la belle a commencé à me draguer à grand renfort de sous-entendus et d’allusions plus ou moins évidentes. Nous discutions presque tous les soirs sur le Network, et tous les soirs notre conversation déviait vers un sujet plus coquin.
Vint le premier échange de photos privées. Je vais me répéter, mais Malory est une femme extraordinaire. Elle est tellement nature ! Son regard de biche, ses joues charnues et sa bouche fine toujours souriante la rendent craquante en toute circonstance. Une nature pleine de vie que je retrouvais dans chaque photo qu’elle m’envoyait. Oh bien sûr je suis conscient qu’elle me faisait une sélection en fonction de ce qu’elle aimait chez elle, et ce qu’elle pensait que j’aimerais chez elle. On le fait tous, même moi. Mais sur chaque photo perso que m’envoyait Malory, il y avait une constante. De ce que je comprenais, Malory passait énormément de temps dans sa chambre, le soir, à jouer avec son smartphone pour trouver les poses les plus lascives, les angles mettant sa poitrine généreuse en avant sans qu’elle ait besoin de retirer le moindre vêtement… Elle ne cherchait pas seulement à se trouver belle pour se faire un album photo à utiliser les jours moroses pour se donner du baume au cœur, elle voulait aussi se sentir terriblement sexy. Elle avait besoin de se sentir désirée, de se sentir sexuelle.
Sa chambre était toujours en bordel, la moitié de son lit servait à poser le linge sale, la chaise en bois qui devait servir au coin bureau s’était trouvée une nouvelle utilité comme table basse en bord de lit pour poser son ordinateur portable. Mais au milieu de ce décors d’adolescente qui ne veut pas grandir, une femme plantureuse extrêmement attirante.
Sur certaines des photos qu’elle m’envoyait, Malory était en lingerie. Parfois rouge, parfois noire, des fois blanche, toujours délicieusement coquine. Elle avait beau choisir du D, sa poitrine débordait régulièrement de son soutien-gorge, ses fesses blanches et rondes n’étaient également pas en reste et finissaient de lui dessiner une silhouette des plus agréables à regarder.
Je ne pouvais évidemment pas rivaliser avec tant de beauté naturelle, mais j’essayais de lui rendre ce qu’elle me donnait. Elle aimait mon regard, elle aimait ma moue et ma bouche fine, mais je sentais qu’elle n’était pas émoustillée par ma morphologie des plus banales. Mais en revanche, elle était très réceptive à ma manière de lui parler, à ma manière de penser. Je la charmais par mon regard et mon verbe, et parfois c’est suffisant pour aller à la prochaine étape.
Malory savait qu’elle me plaisait, et elle avait dû collectionner beaucoup de soirées coquines avec des flirts d’un jour, car elle savait parfaitement où elle allait et sur quels boutons elle devait appuyer pour me rendre dingue. J’aime profondément les dragueuses, les femmes qui ne soucient plus des préjugés antédiluviens d’une société à la ramasse. J’aime qu’une femme me fasse du charme autant que je peux lui en faire. Être seul à me démener face à une femme qui s’est persuadée que c’est comme ça que le monde a toujours tourné et qu’il faut qu’il en soit ainsi, ça ne me parle absolument pas. Parfois ça peut être un challenge de beau-parleur que d’essayer de faire craquer une femme impassible, mais je préfère de loin lorsque la drague marche dans les deux sens.
Et c’était ça avec Malory, chaque soir on se retrouvait sur le Network, et chaque soir on ne savait pas qui allait mener la dance, qui allait user de ses charmes pour que l’autre lui envoie un baiser, une photo… Inévitablement, nous avons poursuivi par des soirées webcams. Je me perdais dans ses yeux, elle souriait de me voir aussi admiratif, tel un enfant émerveillé devant un magasin rempli de sucreries. Lorsqu’elle se sentait désirée à s’en mordiller la lèvre inférieure, j’avais le droit à une danse légère entre son index et la bretelle de son débardeur - elle s’allongeait toujours sur le ventre face à la webcam pour bomber son décolleté incroyable - et à mesure qu’elle jouait avec cette bretelle, mon regard devenait de plus en plus gourmand, ma main descendait de plus en plus vers mes cuisses.
À me voir de plus en plus au bord du précipice, Malory remuait son bassin, je voyais au fond, caché par l’obscurité de sa chambre éclairée par la seule lumière de son écran d’ordinateur, son cul rebondi se mettre à tanguer de gauche à droite, comme si quelque chose la démangeait. Et lorsque j’ai descendu ma webcam pour qu’elle filme mon boxer serré par mon sexe gonflé, Malory a craqué.
Pendant deux heures, nous nous sommes masturbés l’un devant l’autre, mais ce que je vis allait bien au-delà. Ce soir-là, j’ai vu une déesse. Elle s’est retrouvée très rapidement nue, sa poitrine généreuse n’était plus soutenue, alors elle la saisissait régulièrement, pour la maintenir ferme, pour pouvoir lécher ses superbes tétons roses, pour les malmener à mesure qu’elle avait une envie hargneuse de mon sexe en elle. Son bras droit passait sous son ventre pour aller masturber son sexe. Visage déchiré de plaisir face caméra, Malory regardait mon sexe dur et humide à travers l’écran. Elle le voulait dans sa bouche, entre ses seins, dans son sexe, dans son cul… Elle voulait me baiser, JE voulais la baiser.
Son orgasme se déclencha avant le mien. Ses yeux se fermèrent, sa main se crispa sur le drap du lit, sa bouche se plissa pour tenter de réprimer un gémissement trop bruyant - elle vivait chez ses parents à cette époque - puis elle disparu dans un océan électrique de sensations, de plaisir, de vie. À présent elle attendait que je vienne à mon tour, elle voulait voir un jet de sperme exploser de mon gland en feu pour venir s’étaler sur mon torse. Elle voulait voir des gouttes de semence perler le long de ma queue jusqu’à mes couilles durcies et vidées. Comme je ne voulais pas qu’elle attende trop longtemps, je me masturbais bien plus fort et bien plus vite que d’ordinaire, allant jusqu’à m’en faire mal au gland. Souvent Malory reprenait sa masturbation pour rester à la bonne température, et il est arrivé qu’elle jouisse à nouveau, et encore une fois, avant que je vienne. Lorsqu’elle me voyait perdre pied et fermer les yeux comme sous le coup de la douleur, mon sperme chaud explosant de mes mains; elle avait toujours ce sourire victorieux et cette malice dans le regard d’avoir réussi à me faire jouir.
J’avais faim d’elle, tous les jours. Il fallait qu’on se voit, on ne pouvait plus continuer à se chercher, à se chauffer, il fallait qu’on se voit et qu’on fasse l’amour. C’en était devenu une question de survie.
Alors un jour, nos emplois du temps se sont croisés, et nous avons passé un week-end entier ensemble. Notre premier week-end. On s’est donné rendez-vous dans un café parisien, on a discuté autour d’une tasse chaude, on a parlé, on s’est embrassé, on s’est titillé. C’est elle qui m’a proposé de se rendre à l’appartement que j’avais loué pour l’occasion. Moins explicite qu’un hôtel, plus confortable, plus intime. Sur le chemin, on se cherchait, nos préliminaires commençaient déjà. Ma main sur ses fesses, sa bouche dans mon cou qui me mordillait, sa main effleurant mon jean pour jauger de l’état de ma queue…
Et ce fut le début de notre première nuit….
Yorumlar