MARIA - Partie 02
- HIM
- 29 janv. 2019
- 12 min de lecture

J’avais gardé le message de Maria. Cette sublime photo de son sein lourd offert à mon regard gourmand. Je lui avais envoyé un sms laissé sans réponse depuis plusieurs jours. Hors de question de surenchérir avec de nouveaux messages voire une photo de ma propre nudité, j’aurais tôt fait de passer pour un affamé de bas niveau, et elle n’attendait que ça. Je ne savais pas trop à quel jeu elle comptait jouer avec moi, mais j’étais étrangement attiré par ce comportement erratique. Maria était imprévisible, certains oseraient dire instable. Les jours passaient sans qu’elle ne daigne me répondre, alors je suis passé à autre chose. Quelques plans cul sans grand intérêt, juste histoire de ne pas dormir seul. Et puis un soir, comme ça, j’ai reçu un message de Maria sur le Network.
Ça va ?
De quoi ? Elle ne me répond pas depuis un mois, pour venir tailler le bout de gras comme un cheveu sur la soupe. Mais que me veut cette fille ?!
Ça va… dis donc, ça fait longtemps…
La belle m’explique qu’elle délaisse un peu le Network, non pas parce qu’elle a trouvé quelqu’un, mais il lui arrive d’en avoir marre de sa routine 2.0 et de mettre sa vie numérique en pause pour une durée indéterminée sans prévenir.
Tu m’avais laissé sur une note particulièrement sucrée en plus… ai-je lâché, cherchant à revenir au sujet qui m’intéressait ce soir-là : pourquoi me teaser de la sorte ?
Ah oui c’est vrai… ça t’a plu ??
Et comment que ça m’a plu. Mais ça elle le savait, alors j’ai préféré ne pas trop en dire ; après m’avoir mis au placard pendant un mois, c’était dorénavant à elle de passer à l’offensive.
Maria me demanda si j’avais quelqu’un dans ma vie en ce moment, lorsque je lui ai répondu que je n’avais rien de sérieux, juste des flirts d’une nuit, elle me lança « Oh comme moi lol ! »
Elle me partagea des captures d’écran des conversations qu’elle entretenait avec ses trois plans du moment. En lisant les monologues maladroits de Julien, Axel et Thomas, je me demandais si la belle métisse leur partageait également notre fil de discussion. En y réfléchissant je me demande si elle ne jouait pas à l’appel d’offre en dévoilant ces conversations privées. Je n’ai jamais été dans un esprit de compétition, et je ne suis pas de nature jalouse ; mais si ça l’excite de se sentir convoitée par plusieurs hommes en même temps, qui suis-je pour juger ? Et puis malgré le temps passé sans avoir eu de nouvelle d’elle, je n’oubliais pas l’effet qu’avait Maria sur moi.
Comme je ne cédais pas à la crise de jalousie attendue, Maria m’envoya une nouvelle capture où elle partageait à l’un de ses prétendants une photo particulièrement explicite de ses fesses rondes prises depuis un grand miroir. Manière détournée de me l’envoyer également.
Wow, la chance…
De quoi ?
D’avoir droit à ce genre de photo ! ça donne envie.
Lol t’es bête.
À ce rythme on aurait pu continuer pendant deux ans encore. J’avais un mal fou à la cerner. C’est comme si deux Maria cohabitaient dans le même corps. D’un côté une femme extrêmement sexuelle, et de l’autre une jeune adolescente un peu trop timide. Perdant patience face à cette discussion schizophrène, j’ai proposé à Maria de se voir le week-end-même histoire de parler de vive voix autour d’un café. En général je n’attaque pas aussi directement, mais un refus de sa part aurait été une porte de sortie toute trouvée pour ne plus perdre mon temps avec un fantasme insaisissable.
Mais contre toute attente, elle accepta. J’ai passé les jours suivants à me dire qu’elle ne viendrait sûrement pas à notre rendez-vous, d’autant qu’elle se fit d’un coup bien plus discrète sur le Network.
Mais elle vint au rendez-vous. Avec une demi-heure de retard certes, mais faut bien se faire désirer non ?
Elle avait une jolie veste crème couvrant un débardeur noir qui ne pouvait dissimuler cette sublime poitrine. Elle s’avança vers moi avec des grands yeux brillants et une moue timide : adorable. C’est là que j’ai compris toute la beauté de Maria. Elle travaillait comme assistante dans une crèche, passait ses journées à s’occuper des tous petits, se faisant draguer ostensiblement par les papas venant chercher leurs marmots à la sortie des bureaux, et rentrant chez sa mère le soir pour passer la soirée à se faire répéter encore et encore qu’elle était une bonne à rien, une gamine incapable d’affronter la vie. Maria avait un énorme manque de confiance en elle, dépendante d’une mère qui lui en voulait injustement pour ses propres erreurs. Elle avait fini par se convaincre qu’elle était effectivement immature, alors elle gardait le silence, sa meilleure carapace face à cet environnement toxique. Le visage sexuelle de Maria ne se dévoilait que lorsqu’elle s’autorisait à lâcher prise ; soit parce qu’elle avait passé une bonne journée, ou au contraire lorsqu’elle se sentait étouffer et qu’elle avait besoin d’envoyer chier ce monde agressif.
Je me suis immédiatement pris d’affection sincère pour Maria à partir du moment où elle m’a laissé entrevoir son âme tiraillée. Nous avons discuté jusqu’au coucher du soleil, sans flirt plus avancé qu’un toucher de main ou une bise sur la joue pour ponctuer un rire communicatif.
Je l’ai accompagnée jusqu’à son métro, aucun de nous deux ne voulait partir. Elle commença à manipuler mon manteau, frotter ses plis, retirer les poils accrochés, sa poitrine frottant mon torse à mesure qu’elle s’amusait. Les signaux étaient assez lumineux pour un idiot comme moi.
On s’est embrassé pour la première fois.
Ma main s’est posée instinctivement sur sa chute de rein, sa poitrine s’est écrasée sur mon torse tandis qu’elle saisissait le col de ma veste pour me garder prisonnier de ses baisers. Sa bouche pulpeuse, fruit de mes fantasmes des mois passés, était douce et fraiche contre la mienne.
J’avais envie de l’embrasser langoureusement, recouvrir son cou de baisers, tout en malaxant cette poitrine dont le décolleté faisait exploser mon imagination luxurieuse. Mais on ne se lance pas dans les préliminaires devant une bouche de métro bondée, surtout quand Robert Doisneau n’est pas là pour immortaliser l’instant.
Alors je l’ai regardée prendre l’escalator, déjà impatient de notre prochain rendez-vous. Cela faisait longtemps que je n’avais pas eu un vrai rencart à l’ancienne, qu’on n’avait pas pris le temps de s’approcher. On ne prend plus le temps, c’est dommage.
Le soir venu je ne me suis pas connecté sur le Network, j’aurais eu l’impression de briser la magie de ce rendez-vous. Je suis resté éloigné du net, et j’ai lancé une série avec assez d’épisodes pour m’endormir devant. Au générique de l’épisode 2, j’ai reçu un message. Le temps que je récupère mon téléphone, j’en avais reçu un autre, et encore un autre !
Maria m’envoyait une rafale de photos. Visiblement elle était sortie aussi frustrée que moi de notre rendez-vous. Un selfie de la belle glissant sa langue experte sur ses lèvres charnues ; une prise de vue depuis le miroir de sa chambre pour mettre en avant la rondeur parfaite de ses fesses à travers sa nuisette noire légèrement transparente ; et un selfie excessivement provoquant de la belle tirant cette longue langue rose sur un téton dur parfaitement dessiné.
La simple vision de ces quelques photos suffit à m’exciter, et à provoquer une érection que mon boxer ne pouvait camoufler. Je pris une photo du boxer déformé par mon sexe, puis une autre de mon gland sortant légèrement du tissu, puis une dernière de mon sexe totalement sorti et reposant dans le creux de ma main. J’envoyais la première photo, puis attendais la réaction de ma belle… Et ainsi de suite.
Je termine plus tôt demain si tu veux qu’on se voit !!! a-t-elle conclu.
La journée qui suivit fut d’une lenteur abominable. Je comptais les minutes qui me séparaient de notre nouvelle soirée. On s’était donné rendez-vous chez moi cette fois-ci, elle apporterait à boire et moi j’avais sur-vendu mes talents de cuistot. Je suis rentré du boulot en retard, j’ai foncé dans la salle de bain pour me doucher et me changer ; je n’aurais pas le temps de faire un peu de ménage ni d’aller faire des courses.
Mais Maria ne venait pas pour ça, elle avait son visage de femme fatale lorsque j’ouvris la porte. Merde j’avais oublié de changer mes draps ! Quel connard… Tant pis, on fera ça sur le canapé. Elle me tendit la bouteille de rhum en entrant, me laissant un simple bisou sur la joue alors qu’elle pénétrait dans mon antre, scannant en une micro-seconde tout ce qui pouvait clocher dans mon appartement.
— C’est fort comme alcool pour un deuxième rendez-vous nan ? ai-je demandé de manière faussement innocente.
— C’est pour mieux abuser de toi quand tu seras saoul, lâcha-t-elle avec son rire d’enfant malicieux.
Je n’avais pas besoin de ça mais j’appréciais l’attention. Une heure plus tard la bouteille vide était posée sur la table à côté de nos assiettes à peine entamées, et Maria était assise sur moi au milieu du canapé, sa langue dans ma bouche et sa main dans mes cheveux. Mon ordinateur passait ma playlist spéciale « soirées coquines », ma main caressait son incroyable cul au rythme des vibes suaves de Beyoncé. Les grosses fesses fermes de Maria étaient tout bonnement prodigieuses, je ne pouvais m’arrêter de les toucher en glissant mes mains sous sa jupe. Je sentais sa peau frémir lorsque mes doigts frôlaient les zones sensibles, les doigts de Maria se crispant dans mes cheveux au moment critique. Puis je suis passé de ses fesses à ses seins. Maria s’est redressée pour sortir sa poitrine généreuse hors de son soutien-gorge, mes mains ont glissé sur ses hanches, puis à la base de ses seins. Alors que Maria remuait pour sentir mon érection montante à travers mon jean, je saisissais ces deux merveilles, lourdes et douces, fraiches. Je plongeais ma tête gourmande entre ses seins, les couvrant de bisous et de caresses. Ma queue commençait à trouver le temps long à se faire à ce point frotter par les fesses expertes de Maria, la faim était à ce moment parfaitement insoutenable. J’ai pris ses tétons dans ma bouche, je les ai sucés, léchés, mordus… J’avais faim d’elle, je ne pouvais plus attendre avant de la prendre !
Maria me plaqua contre le canapé pour me faire comprendre qu’elle prenait la main à partir de là. Elle m’embrassa une nouvelle fois, de toute sa fougue ; puis embrassa mon cou, mordilla le lobe de mon oreille, et commença à descendre. Elle s’attarda sur mon torse, le ponctuant de bisous humides, gardant le bout de sa langue sorti comme pour déceler plus facilement mes zones érogènes à mesure qu’elle descendait vers mon sexe. Comme souvent dans ces cas-là, elle a voulu défaire ma ceinture et retirer mon jean toute seule, mais on a tôt fait de se retrouver face à une boucle récalcitrante. Nous avons ri tandis que je me tordais sur place pour retirer ce jean rebelle et laisser à Maria la dure tâche, ultime, de retirer mon boxer.
Elle passa sa main sur la forme de ma bite, déjà bien dure et tournée – comme d’habitude – sur la droite. Elle laissa le gland sortir, déjà bien échaudé. Pendant que je retirais définitivement ce boxer inutile, Maria se mit elle aussi à l’aise et fit voler son soutien-gorge. Ses tétons étaient encore bien durs, sa peau chocolat au lait contrastait avec mes cuisses blanches. Elle regarda ma queue étendue de toute sa longueur sur mon ventre, puis posa sa sublime poitrine dessus. En appuyant sa poitrine divine, Maria enferma mon sexe au chaud entre ses seins. Mon gland dépassait légèrement, et lorsqu’elle remuait lascivement ses seins lourds, mon gland se décalottait et se recalottait en douceur… Il était tellement lubrifié, c’était incroyable.
Je fermais les yeux pendant qu’elle me branlait avec ses seins, puis je fus pris de court lorsque je sentis soudainement sa langue agile tourner sur mon gland. Je contractai mon bassin de surprise, électrisé par cette sensation incroyable d’une langue inconnue qui se pose pour la première fois sur mon sexe. Maria se redressa, surprise de ma propre surprise.
— Et bha !
— Putain ta langue… j’étais pas prêt…
Elle sourit, satisfaite. Elle prit ma queue dans ses mains, doucement, presque comme un massage délicat. Ses mains étaient si douces, et petites, des mains de jeune fille – ce qui est toujours drôle car ça me donne l’impression d’avoir une bite vraiment énorme – mon cœur allait exploser quand elle se décida à me prendre en bouche.
Maria aimait avoir une bonne queue à sucer. Je l’ai découvert par la suite, mais l’acte en lui-même lui posait plus de problème que le reste. Lorsqu’elle avait la bite de son partenaire en main, elle menait la danse, elle maîtrisait l’instant… C’était plus compliqué lorsqu’on faisait l’amour, ses vieux démons refaisaient surface dès qu’elle lâchait prise. Alors elle se donnait à fond durant la fellation, cherchant parfois à me faire jouir dans sa bouche avant-même que j’ai pu la pénétrer.
Mais c’était notre première fois, et je ne me posais pas encore cette question : elle suçait juste excessivement bien. Et une bonne pipe c’est comme un bon cuni, on ne peut pas savoir ce que c’est tant qu’on ne s’est pas fait lécher par quelqu’un qui sait y faire. Sa langue se tordait dans tous les sens au point de défier les lois de la physique, je la sentais parcourir en un rien de temps les zones les plus intimes de mon sexe à tel point que j’aurais pu avoir l’impression de me faire sucer par deux filles en même temps.
Les veines de ma queue étaient gonflées à leur maximum, ruisselantes de salive à mesure que Maria me pompait jusqu’à la garde. De ses petites mains délicates elle agrippait mes couilles durcies tout en maintenant le rythme d’une pipe gourmande de plus en plus hardcore. J’aurais pu facilement me vider sans retenue contre cette langue de feu… Mais je n’en avais pas terminé avec elle.
D’un mouvement presque violent, je me relevai et remontai Maria sur le canapé pour qu’elle se retrouve à genoux, les seins contre le dossier, le cul cambré vers moi… Elle pensait que j’allais la prendre sans prévenir pour la sauter d’un coup ; mais cette fois-ci c’est elle qui fut surprise lorsque je plongeai ma tête dans ce gros cul sexy pour la lécher en levrette. Les mains de Maria se crispèrent contre le dossier du canapé pendant que je dévorais sa chatte sans modération. Elle mouillait déjà abondamment, et je n’avais qu’à me régaler avec insolence. Mes mains malaxaient son cul pendant que ma langue tournait sur son clitoris, ou que j’aspirais ses lèvres trempées.
— Putain… mets la moi…
À vos ordres madame…
J’avais anticipé la chose et chopai une capote sous la table basse pour ne pas plomber la scène d’un temps mort inutile. J’enfilai le préso sur ma queue bouillante, puis je cambrai encore un peu plus le cul de dingue de ma belle, sa chatte trempée et déjà bien ouverte… Hummm quelle merveille !
Et je pénétrai Maria pour la première fois.
J’ai joui quatre fois ce soir-là. Après cette levrette endiablée où je malaxais ses gros seins au rythme du claquement de mon bassin sur son cul, puis de face – toujours sur le canapé – lorsqu’elle se rendit compte que je bandais toujours et que j’étais déjà prêt pour un deuxième round. Elle regardait ma queue fourrer son sexe affamé, griffant mon torse à mesure que j’accélérai les coups de rein. Ses seins remuaient magnifiquement, brillants de sueur, c’était tellement beau à voir.
Puis lorsqu’elle est sortie de ma douche, entièrement nue sous mon peignoir, la peau perlée de gouttes d’eau. Elle était si belle, et j’avais toujours aussi faim d’elle. Je l’ai entraînée jusqu’à mon lit pour lui faire l’amour, cette fois-ci beaucoup plus sensuellement, moins de cul, plus de sexe. Je léchais sa poitrine alors qu’elle griffait mon cul pour accompagner mes va-et-vient. Elle aimait beaucoup laisser les traces de ses ongles sur ma peau. Son sexe tremblait de trop jouir, son clitoris était gonflé et si sensible que je ne pouvais plus y poser ma langue sous peine de lui provoquer de puissantes décharges électriques qui la paralysaient.
Elle ne pouvait plus jouir, mais elle voyait que mon sexe était encore dur, et elle ne voulait pas gâcher, ou bien elle voulait me récompenser de l’avoir bien traitée, je l’ignore.
Elle me fit la plus extraordinaire des pipes. À la fois sensuelle et agressive, elle frappait mon gland contre ses gros seins pour maintenir l’afflux sanguin, elle léchait mon sexe en sortant sa langue comme pour lécher une glace à l’italienne ; elle me branlait à deux mains au son du bracelet Pandora qu’elle avait au poignet droit, aspirant mon gland dans sa bouche pulpeuse dès qu’une goutte de sperme venait glisser sur ma chair rosée. Je savais que cette dernière salve allait être douloureuse, que mon orgasme serait intensément crispant, mais Maria ne me laissait aucun répit, elle voulait me faire jouir une dernière fois. Elle gémissait des mots cochons pour me faire venir plus vite, rendant l’instant particulièrement érotique.
— Hmmm t’as envie de gicler sur mes gros seins pas vrai…
— Ohlala oui… j’adore tes seins..
— J’adore ta queue… laisse toi aller, donne-moi ce sperme… vide tes couilles encore une fois..
— Putain tu vas me tuer…
— Hihihi... t’aimes quand je fais ma salope hein...
Elle tourna sa langue sur mon gland en souriant, elle avait gagné. Elle plaqua ma queue contre ses seins juste avant que j’éjacule. L’orgasme me fit mal au ventre, mes couilles étaient crispées de ce dernier jet. J’en avais mal, mais je m’en foutais, mon cerveau baignait dans un bain d’hormones. Mon sperme s’étala sur ses seins pendant qu’elle continuait de me branler. Je n’ai pas joui beaucoup, je n’avais plus grand-chose à jouir en même temps… Mais Maria récupéra ce sperme en frottant ma queue sur sa poitrine, puis me suça afin de goûter ce jus de la victoire.
J’étais encore shooté de cet ultime orgasme, mais je proposai à Maria de rester dormir avec moi.
Elle refusa.
Elle resta néanmoins encore un peu avec moi. On a refait le match, riant de certaines de nos plus belles actions pendant que nos doigts s’entremêlaient sans qu’on y prête plus d’attention que ça. Maria jeta un œil sur son téléphone et se leva d’un bond : son dernier métro n’allait pas tarder et il ne fallait pas qu’elle le loupe.
Je l’ai accompagnée jusqu’à ma porte d’entrée, je ne voulais pas qu’elle parte. Je voulais me réveiller et réaliser que cette soirée n’était pas un simple rêve cochon de ma part. Je voulais voir cette femme sublime sous mes draps, sa silhouette curvy dessiner des vallées et des collines de glamour sur le tissu alors que le soleil se lèverait derrière les immeubles. On s’embrassa, langoureusement.
Maria était-elle juste un superbe plan cul, ou bien étions-nous rentrés dans une histoire un peu plus sérieuse ?
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